Depuis 2011 et l'acquisition conjointe par le groupe Pizzarotti et la famille Casiraghi de l'ancienne Banca Commerciale Italiana laissée à l'abandon, le Rocher retenait son souffle. En effet les porteurs du projet avaient décidé de lancer un concours d'architecture retentissant destiné à pourvoir la cité-état d'un nouveau complexe résidentiel de très haut standing. Suite à une exposition anonyme des différents projets et aux tractations secrètes d'un jury d'experts, c'est finalement Isay Weinfeld qui s'est vu attribuer la réalisation de l'édifice. Les critères de sélection rassemblaient de nombreux aspects que l'architecte brésilien a su synthétiser et intégrer dans une idée qui, à n'en pas douter, ne fera que grandir la réputation de capitale mondiale du raffinement dont le Rocher dispute le titre avec panache aux plus grandes métropoles de notre planète.
De l'aveu même du rédacteur en chef chargé du projet éditorial de l'édifice, le choix d'Isay Weinfeld repose sur sa capacité à répondre avec goût et créativité au cahier des charges qui lui était imposé. Tout particulièrement, la légèreté avec laquelle la résidence s'intègre dans le contexte urbain de la ville a séduit les membres du jury. D'autant que l'optimisation de l'espace et des surfaces disponibles, autre impératif catégorique, a manifestement sous-tendu toute sa version du projet. Les appartements de grand luxe que la résidence porte en son sein profitent de la vision ouverte et connectée à l'environnement d'un architecte pour qui l'intégration contextuelle semble être l'inspiration première. Tel un funambule, Isay Weinfeld marie les contraintes esthétiques traditionnelles du Rocher à son identité personnelle forte pour accoucher d'un bien immobilier en pleine cohérence avec une transformation urbaine aussi nécessaire que réussie.
De l'aveu même du rédacteur en chef chargé du projet éditorial de l'édifice, le choix d'Isay Weinfeld repose sur sa capacité à répondre avec goût et créativité au cahier des charges qui lui était imposé. Tout particulièrement, la légèreté avec laquelle la résidence s'intègre dans le contexte urbain de la ville a séduit les membres du jury. D'autant que l'optimisation de l'espace et des surfaces disponibles, autre impératif catégorique, a manifestement sous-tendu toute sa version du projet. Les appartements de grand luxe que la résidence porte en son sein profitent de la vision ouverte et connectée à l'environnement d'un architecte pour qui l'intégration contextuelle semble être l'inspiration première. Tel un funambule, Isay Weinfeld marie les contraintes esthétiques traditionnelles du Rocher à son identité personnelle forte pour accoucher d'un bien immobilier en pleine cohérence avec une transformation urbaine aussi nécessaire que réussie.
Vivre à Monaco et profiter de ses charmes
Depuis quelques années, le quartier du Carré d'or est en perpétuelle effervescence. La demande forte en vastes unités d'habitation de haut standing stimule les promoteurs et produit une véritable course à l'expansion du domaine immobilier de luxe. Symbole de cette tendance, le projet de la Petite Afrique proposé par Isay Weinfeld fait figure de vitrine de la construction neuve sur le Rocher. Sa proximité avec les jardins du Casino d'une part et l'Avenue de la Madone d'autre part ont inspiré à l'architecte un design audacieux pourtant en plein accord avec son environnement. Permettre aux résidents de la Petite Afrique d'apprécier la vue incomparable a composé la ligne directrice de son travail. C'est pourquoi chaque étage dispose de jardins de balcon, véritables extensions du domaine intérieur, où il est possible de jouir en toute tranquillité des faveurs du climat méditerranéen.Chacun des 8 appartements s'étend sur un étage entier hormis le penthouse du dernier étage qui occupe les deux derniers niveaux. Ce dernier, véritable joyau immobilier, est en outre pourvu d'une terrasse et d'une piscine privative sur le toit où une pergola ombragée permet de languir à satiété en profitant d'un point de vue à couper le souffle. Les 8 appartements sont chacun pourvus de deux suites, d'une suite parentale avec dressing, d'un bureau et de grands espaces collectifs. On y trouve également une vaste cuisine, une salle à manger et des espaces dévolus au service. Comme souhaité par les porteurs de projet, les espaces de vie de la Petite Afrique sont ouverts sur la lumière extérieure grâce à des cloisons transparentes mobiles prolongeant la visibilité sur la terrasse spacieuse et les jardins. La philosophie de l'architecte s'est ainsi parfaitement adaptée aux contraintes imposées par le cahier des charges pour proposer aux résidents un appartement de luxe modulable, ouvert sur l'extérieur mais aussi pourvu de divers services.
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Habiter à Monaco à la Petite Afrique : un immeuble avec services prestigieux
Si la qualité de finition et la réussite de l'intégration esthétique au contexte urbain du projet d'Isay Weinfeld ont soulevé l'enthousiasme des membres du jury, ceux-ci ont également salué l'agencement des différents services proposés dans la résidence Petite Afrique. Le niveau supérieur, connecté au Boulevard des Moulins, offre un accès rapide au quartier et sa vie animée ainsi qu'au réseau de transports. Naturellement, on peut d'ici entrer dans l'espace commercial du projet et ses trois niveaux pensés comme flexibles qui peuvent accueillir une grosse structure ou plusieurs petites entités. Au premier niveau du sous-sol, baigné de lumière naturelle grâce à des puits, se situent les services essentiels dont un couloir de natation, un hammam, un sauna, une salle de fitness, une salle de massage et un lounge bar très convivial.Au premier et au rez-de-chaussée, on trouve les locaux réservés au personnel qui comprennent unités d'hébergement et salles dédiées au stockage. L'entrée privée des résidents s'ouvre sur une route courbe qui épouse les formes des Jardins du Casino. Le hall principal se connecte naturellement avec la verdure environnante diffusant une sensation d'harmonie et fluidifiant les échanges entre le complexe et le tissu urbain.
La réussite de ce projet réside donc dans la stricte application des directives initiales mêlée à l'identité forte et visionnaire d'un architecte de renom.